Sonnerie à râteau

Contrairement à sa consœur à chaperon, la sonnerie à râteau est indécomptable.

Le nombre de coups sonnés est déterminé par la chute plus ou moins grande d’un palpeur du râteau sur une pièce en forme de limaçon. Le limaçon étant lié à la roue des heures, il ne peut donc pas y avoir de décalage entre l’heure indiquée par les aiguilles et le nombre de coups sonnés.

Sur la plupart des horloges comtoises il ne s’agit pas d’un râteau mais d’une crémaillère, encore appelée échelle.